« Jouissances »

Exposition collective au Centre d’Arts pluriels ‘Autonomie à Bruxelles
Du vendredi 16 septembre au dimanche 16 octobre 2022
Vernissage le jeudi 15 septembre à 18h

À l’occasion l’exposition Corps/Peau(Rel) (lire corporel), le corps se dévoile, la peau se montre, au travers de nombreuses œuvres, installations et performances.

Je présenterai 17 photographies noir/blanc de mon projet « Jouissances », portraits de femmes, images de plaisirs et de désirs.

« Le plaisir féminin est une composante majeure de l’équilibre personnel » – Elisa Brune / Les secrets des femmes.

Dans l’espace clos d’une chambre, caméra au poing, femmes et photographe bougent sans cesse, multiplient les poses, explorent les délices de la chair. A travers un prisme poétique, quelque peu voyeur parfois, ces femmes relâchent leurs tensions personnelles, dans ces instants suspendus où le corps se libère et dialogue avec le « soi ». Si l’intensité du désir se traduit par ces corps en mouvement, il passe aussi par les regards troublés de ces femmes. Une invitation à observer ; l’ivresse de l’indiscrétion. L’orgasme imaginé, suggéré ou réel s’affranchit de toute barrière, de tout interdit, dans la chaleur du corps bousculé. Et le réveil de la femme sacrée. Et puis viennent l’apaisement, l’épuisement, le bonheur libératoire.

Saisir des émotions, des pensées, des gestes. Étreindre l’intime, les plaisirs secrets. Des corps débordants de désirs ; des féminités livrés aux caresses. Effleurements. Capter des histoires, des tourments intérieurs. Obsessions. Jouissances. Découvrir des failles, des interdits. Écouter les silences, les murmures, les vibrations. Dans un noir et blanc brut. Sombre. Organique. Charnel. Vivant. Pur.

Le traitement numérique cherche résolument à rendre l’image plus rugueuse, plus brute et contrastée. Cette rugosité va ajouter à la vérité des émotions.

http://artesio.art/?s=0201010000&p=322


« L’âme des arbres »

Exposition collective au Centre d’arts pluriels ‘Autonomie à Bruxelles
Du vendredi 17 juin au dimanche 17 juillet 2022
Vernissage le jeudi 16 juin à 18h

Dans le cadre de l’exposition AR(t)BORETUM, la nature artistique de l’arbre, je présenterai une série de photographies noir/blanc de mon travail « L’âme des arbres » 

« Les arbres que j’ai vus jaillir le plus droit ne sont pas ceux qui poussent libres. Car ceux-là ne se pressent pas de grandir, flânent dans leur ascension et montent tout tordus ».
Antoine de Saint-Exupéry

Ces photographies suivent un cheminement personnel pour prendre racine, comme un besoin d’attachement à quelque chose de vivant. S’ancrer au plus profond de mes émotions, de mes doutes, de mes interrogations. Écouter le murmure des arbres, des sous-bois ; dialoguer avec ces êtres d’écorces et de sève.

Au fil des saisons, sentir les mille parfums que diffusent les forêts. Découvrir ces arbres tortueux, cassés, parfois déracinés, et toujours si fiers, si impressionnants, si puissants…si fragiles aussi. Ne sont-ils pas le miroir de nos existences ? Savourer le calme, la sérénité, la patience au travers de ces feuillages, ces branches…comme des bras réconfortants, apaisants. Impénétrables parfois, accueillants souvent, mystérieux toujours. Ces arbres ne sont pas exceptionnels…ils SONT. Peuple des forêts, gardiens de la nature, ils nous invitent à contempler le beau et le chaos. Éternels, debouts ou réduits à l’état d’humus.

http://artesio.art/?s=0201010000&p=349


« Arrêt sur image – portraits d’actrices belges »

Exposition collective – Parcours d’artistes de Saint-Gilles (Bruxelles)
Les 7, 8, 14 et 15 mai 2022 à la piscine Victor Boin (rue de la Perche)

À l’occasion de ce Parcours d’artistes, j’exposerai une trentaine de portraits d’actrices, accompagnée de la présentation du livre « Arrêt sur image – portraits d’actrices belges » qui vient de paraître.

D’un format 13×18 cm, le livre reprend les 77 portraits réalisés depuis 2019. Il est disponible au prix de 30 euros (hors frais d’envoi). Pour le commander, il suffit de d’envoyer un mail à info@xavierclaes.be

Chaque artiste exposera ses œuvres dans l’une des cabines du vestiaire de la piscine. Mon projet sera exposé sous la forme de formats carrés (15x15cm)  identiques au carrelages de ces cabines.

Exposition organisée par l’asbl Trilithe
https://www.facebook.com/trilithe.asbl.9


«Arrêt sur image – portraits d’actrices belges »

Exposition individuelle au Centre culturel de Dinant
Du 8 mars au 7 avril 2022
Vernissage le 8 mars à 19h

Je présenterai une sélection de 30 portraits de mon travail «Arrêt sur image – portraits d’actrices belges ». Ce projet, commencé à l’automne 2019, s’est terminé en août 2021 avec la participation de 77 actrices.

La galerie de portraits se veut la plus représentative possible de l’éclectisme de cette profession : métissage culturel, artistique et sociologique.

Les actrices sont les talents actuels et futurs du cinéma, du théâtre et de la télévision, sans distinction d’âge.

L’objet est de montrer la diversité de leurs caractères, la profondeur de leurs émotions et l’imprévisibilité de leurs expressions.

Les portraits veulent rendre compte du « risque » pris par ces femmes en choisissant de se lancer dans cette carrière.

Parfois désinvoltes, parfois anxieuses, parfois drôles, parfois tragiques … toujours un peu fragiles.

Chaque photo tente de saisir une petite histoire, vraie, sensible ; une toute petite tranche de la vie de l’actrice.

Volontairement le lieu de la séance photo n’a été pas associé à la comédienne pour préserver la liberté de son jeu. Les lieux de shootings choisis sont urbains. La pierre et le végétal, omniprésents, rendent les lieux anonymes.

Il s’agit de donner du champ au mouvement. L’actrice et le photographe bougent sans cesse. Caméra au poing, l’émotion « accidentelle » est recherchée. L’approche est résolument cinématographique. Le flou rend compte de la fugacité du temps, fige l’instant présent. Le traitement numérique cherche résolument à rendre l’image plus rugueuse, plus brute et contrastée. Cette rugosité va ajouter à la vérité des émotions.


« À la recherche de nouveaux horizons »

Exposition collective Centre d’arts pluriels ’Autonomie (Bruxelles)
Du samedi 4 au dimanche 19 décembre 2021
Vernissage le samedi 4 décembre à 18h

Dans le cadre de Zoom, la quinzaine de la photographie de Bruxelles, je présenterai 4 paysages en grand format de mon projet « À la recherche de nouveaux horizons »

Déambuler. Se perdre dans ces immensités silencieuses. Observer.

Un instant suspendu à ces tableaux éphémères d’une éternité magnifique. Des rêves se perdent dans la brume. Des possibles attendent derrière les collines. Des peurs disparaissent sous le manteau neigeux. Des envies vagabondent sur les flots. Des doutes se cramponnent à la ligne d’horizon.

Exister. Encore et toujours arpenter ces étendues sans fin. Créer de nouveaux ailleurs, affronter ses propres limites. Se souvenir de ces champs, de ces plages, de ces paysages au plus profond de sa mémoire.

Pas à pas, poser délicatement sa propre empreinte. Fragilité. Humilité. Respect.

Se parer de ces nuances de gris infinies. S’abandonner. Ressentir le moelleux de la neige, le crissement du sable, l’humidité du brouillard…Sensations. Libérations.


Zou { } project*

*Une maison particulière, des artistes à y découvrir

A l’occasion de cette exposition, je présenterai des photographies de nouvelles séries notamment  « Tourments et Epuisement ». Des portraits de femmes.
« Saisir des émotions, des pensées, des souffrances. Capturer les doutes et les
questionnements au travers de regards et d’attitudes. Inviter au lâcher prise. Sans filtres,
sans masques. Capter un parcours de vie, une histoire. Sentir les tourments intérieurs.
Ecouter les silences. Dans un noir et blanc brut. Organique. Charnel. »

Les week-ends des 27-28 avril et 4-5 mai 2019
Le samedi de 14h à 19h, le dimanche de 11h à 19h
Vernissage le samedi 27 avril 2019 à partir de 19h

Les autres artistes exposants : Michèle Haenen et Marie-André Beeckmans (sculpture) et Frédéric Moreau De Bellaing (photo).


Passionné d’Histoire, la seconde guerre mondiale m’a toujours intéressé. Comme j’avais envie d’explorer de nouvelles thématiques photographiques, j’ai saisi l’occasion de découvrir l’univers des reconstitutions. J’ai très vite ressenti une certaine fascination artistique pour ces activités. Je pouvais dès lors concilier ma passion et mon métier avec mon intérêt pour cette période de l’histoire. Un devoir de mémoire en images était né. Cependant je ne voulais pas rester en périphérie de ces reconstitutions : je souhaitais être au cœur de l’action et partager, au plus près, toutes ces journées avec les reconstitueurs.

J’ai donc décidé d’intégrer une association, en l’occurrence le 327th Glider Gaume Ardennes, et d’adopter une attitude et un comportement les plus proches de la réalité de cette époque. Le noir et blanc s’imposait, très brut, avec de la « matière » dans l’image. Le choix d’une focale unique de 50 mm pour était une évidence pour être proche au maximum de ce que je devais retranscrire. Je voulais avoir une approche et une vision personnelles tout en recréant l’ambiance que l’on pouvait ressentir et vivre lors de ces moments historiques.

Je voulais ainsi témoigner du quotidien de ces soldats à travers des portraits, des détails, des scènes de
combats. Une manière à moi d’honorer les millions d’êtres humains sacrifiés durant ces douloureuses années.

Une sélection de photos a été présentée au musée de la Reddition de Reims.

https://www.facebook.com/327thGliderGaumeFrance/


Le suivi du chantier de rénovation de logements sociaux pour le Foyer Laekenois à la Cité Modèle à Bruxelles se poursuit. La construction des immeubles 18 à 22 se termine pour accueillir de nouveaux locataires en 2019.


« Bruxelles, l’aventure féminine »


Toute femme a ses histoires,… souvent des doutes, des rires, des joies, des larmes qui
n’arrivent pas à être cachés…et dans la ville, happées par l’effervescence ou le silence de celle-ci, elles déambulent, seules, à la recherche de souvenirs nouveaux, de folies intérieures, de vie,…et l’espace d’un instant, elles s’abandonnent dans les rues de Bruxelles.

Ce travail, où cohabitent la photo de rue, le portrait, la photo de mode ou encore le patrimoine historique, est un condensé de mes questionnements photographiques. Même si les images sont composées théoriquement dans un cadre urbain différent à chaque fois, quel que soit le temps, les photos sont spontanées, aléatoires, livrées à un « accident » visuel ; le plus souvent par l’interaction du public ou par un élément de décor, ou les deux réunis.

D’où l’importance du cadrage et de certains petits détails. La mise en scène se crée à l’instant même où les prises de vues commencent. C’est un univers imprévisible et maîtrisé, un regard brut, porté par un noir et blanc dense, sur des femmes, sur des histoires, sur Bruxelles.



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